Choisissez-la lourde, avec une peau bien adhérente. La couleur et l’épaisseur de la peau importent peu, car ils dépendent seulement de la variété et non du degré de maturité.
Si vous souhaitez utiliser son écorce, achetez un fruit non traité.
Conservez-la de préférence dans le bac à légumes du réfrigérateur afin d’éviter qu’elle ne se dessèche. Quoi qu’il en soit, ne la laissez pas plus de deux semaines.
Consommez-la nature, après avoir tout simplement retiré sa peau, à tout moment de la journée. Détachez les quartiers et glissez-les dans des salades de fruits : oranges et pamplemousses, pommes et poires ou encore mangue et papaye… tous les fruits frais que la saison vous offre.
Vous pouvez aussi la presser. Le jus obtenu, déjà des plus délicieux au réveil pour un petit-déjeuner vitaminé, peut en outre servir de base pour des desserts tel que des crèmes renversées.
L’écorce quant à elle peut se glisser, une fois râpée ou confite, dans les gâteaux et les pâtes à crêpes (ou à pancakes) par exemple, ou également dans les brioches et les pains au lait. Un peu de pulpe mixée et d’écorce râpée aromatise de façon originale le beurre, à tartiner sur votre pain grillé.
Enfin, confisez des quartiers de clémentine dans un sirop de sucre pendant une heure : voilà un décor pour des tartes, des entremets au chocolat voire des bûches de Noël aussi beau que savoureux.
Mais la clémentine n’est pas réservée uniquement aux desserts. Au contraire, elle sublime les préparations salées de sa douce acidité. Ainsi, ses quartiers se marient parfaitement avec les crustacés : crevettes, gambas et homard l’apprécient tout particulièrement, surtout lorsqu’ils sont relevés de piment.
Pour finir, le jus de la clémentine est idéal pour préparer des sauces (avec du beurre) qui accompagnent les poissons blancs ou encore pour déglacer les sucs d’un magret de canard ou d’un rôti de veau …